Depuis quelques années, la radiothérapie adaptative guidée par IRM a pris de plus en plus d'ampleur dans le traitement des cancers de la prostate. Grâce à cette méthode, les radiologues peuvent ajuster le plan de traitement à la position réelle des organes. Il existe deux façons de faire. La première, appelée Adapt-to-Position (ATP), consiste à ajuster le faisceau sans modifier la forme des zones à traiter. La seconde, Adapt-to-Shape (ATS), redéfinit entièrement les contours des organes et réoptimise le plan. Cette dernière, si elle propose une approche plus précise, est plus lourde à mettre en place. Dans une étude parue dans la revue Physics and imaging in radiation Oncology [1], une équipe canadienne a confronté les deux méthodes en comparant quantitativement la dose délivrée par fraction et la dose cumulée au cours du traitement.
Une couverture équivalente
Pour cette étude, un groupe de 35 patients atteints d'un cancer de la prostate a été constitué. Ils ont tous été traités selon la

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