La radiothérapie joue un rôle crucial dans le traitement curatif du cancer de l’œsophage. Lors de cette procédure, le degré auquel la respiration peut affecter le mouvement du volume cible et l’anatomie environnante varie en fonction de l’emplacement de la tumeur, de l’anatomie interne de l’individu et de son schéma respiratoire, décrivent les chercheurs dans une étude publiée dans phiRO (physics and imaging in radiation oncology) [1].
Une technique émergente
Ces derniers ont alors cherché à déterminer si l’apnée en fin d’expiration (EEBH), une technique émergente se caractérisant par l’expulsion de l’air par le patient a le potentiel de réduire le mouvement tumoral pendant le traitement par radiothérapie du cancer de l’œsophage inférieur, et par conséquent les artefacts de mouvement, les volumes cibles et la dose aux organes à risque environnants (OAR). Ils ont ensuite comparé cette technique à la respiration libre (FB).
Une réduction des artefacts de mouvement
Cette étude a été menée aup
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