"Sans manipulateurs radio, l’hôpital ne tourne pas", débute Nicolas Delmas, chef de projet Attractivité à la Direction générale de l’offre de soins (DGOS). Malgré ce rôle clé, le métier de manipulateur d'électroradiologie médicale (MERM) reste "encore méconnu, y compris au sein de l’hôpital. Beaucoup de patients confondent encore le manipulateur et le radiologue", regrette-t-il. Nicolas Delmas est intervenu lors des Journées cadres organisées par l’Association française du personnel paramédical d’électroradiologie (AFPPE) les 18 et 19 septembre derniers. Un travail de fond, concernant la refonte du métier socle de manipulateur radio et la mise en place de la pratique avancée est en cours à la DGOS, a-t-il notamment annoncé.
Former différemment
La France fait aujourd’hui face à une pénurie de manipulateurs radio, mais le métier est attractif, souligne Nicolas Delmas. En témoigne le nombre d'écoles qui a augmenté. « Toutes les places sont pourvues chaque année ». Le vrai problème est le no

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