Crise sanitaire

S’organiser face à la Covid-19 : l’expérience des manipulateurs de l’AP-HP

Depuis mars 2020, les établissements de santé se sont mis en ordre de marche pour prendre en charge les patients COVID + tout en assurant aux professionnels de santé des moyens de prévention contre l’infection au SARS-CoV-2. Les services d’imagerie médicale ont dû, comme tous les services hospitaliers, adopter différentes stratégies pour prévenir les infections des professionnels.

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Le 20/10/21 à 13:00, mise à jour aujourd'hui à 4:01 Lecture 10 min.

Les stratégies mises en place ont reposé sur les mesures de protection et d’hygiène, la réorganisation des prises en charge des patients et le renfort des équipes soignantes. La communication reste aujourd’hui encore le vecteur essentiel de ces différentes stratégies de prévention dans la gestion de cette pandémie (photo d'illustration). © Carla Ferrand

Fin 2019, une province chinoise fait face à une recrudescence d’infections respiratoires. Sans le prévoir, le Monde s’apprête à vivre une pandémie. En janvier 2020, la France prend connaissance de la découverte d’un nouveau coronavirus nommé le SARS-CoV-2. Fin février, l’épidémie s’accélère et les hôpitaux s’organisent pour lutter contre la Covid-19. Le directeur de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris déclenche le plan blanc le samedi 14 mars 2020. Les semaines suivantes, les nombres de patients hospitalisés et de décès augmentent partout dans le monde. Il devient essentiel de garantir des moyens de protection à tous les professionnels de santé en première ligne. Les manipulateurs en imagerie médicale en font partie. Les stratégies mises en place reposent sur les mesures de protection et d’hygiène, la réorganisation des prises en charge des patients et le renfort des équipes soignantes. La communication reste aujourd’hui encore le vecteur essentiel de ces différentes stratégies d

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Auteurs

Christelle Gouin

Cadre supérieure de santé Hôpital Saint-Louis - Assistance publique - Hôpitaux de Paris Paris

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La FNMR, réunie le 29 mars dernier, a réaffirmé son opposition aux baisses tarifaires imposées par l’article 41 de la LFSS 2025, qui prévoit 300 millions d'euros d’économies sur l’imagerie médicale d’ici 2027. Lors d’une réunion avec les syndicats le 20 mars, la CNAM a confirmé que ces économies concerneraient la radiologie, l’échographie et la médecine nucléaire, incluant les actes et forfaits techniques. La FNMR participera aux discussions pour l’élaboration d’un plan de pertinence, annonce-t-elle dans un communiqué.
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