Bonnes pratiques

La HAS met à jour son guide sur la simulation en santé

La HAS a réactualisé en avril 2024 son guide de bonnes pratiques sur la simulation en santé. Cette méthode de formation permet de renforcer la qualité des soins, d’assurer une meilleure sécurité des patients, et d'aider les professionnels de santé à perfectionner leurs compétences dans un cadre sécurisant et reproductible.

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Le 28/10/24 à 7:00, mise à jour le 27/01/25 à 11:40 Lecture 2 min.

Cette mise à jour du guide de bonnes pratiques, initialement publié en 2012, permet à la HAS d’intégrer les évolutions récentes des pratiques de simulation en santé ainsi que éléments qui n'avaient pas encore été abordés dans la version précédente (photo d'illustration). © Carla Ferrand

La simulation en santé se développe en France dans la formation continue des professionnels du secteur médical. Définie, dans un rapport de la Haute Autorité de santé (HAS), comme « une méthode pédagogique active et innovante, basée sur l’apprentissage expérientiel et la pratique réflexive », la simulation en santé utilise des mannequins, des simulateurs procéduraux, de la réalité virtuelle ou encore des patients simulés afin de recréer des situations cliniques pour entraîner les praticiens à des procédures diagnostiques et thérapeutiques, décrit la HAS.

Un guide de bonnes pratiques

Afin de promouvoir le développement de la simulation en santé, la HAS a publié un guide de bonnes pratiques actualisé en mars 2024. Cet outil, destiné aux professionnels de santé souhaitant se former ainsi qu’aux professionnels des structures de simulation en santé et partenaires simulés de formation, s'inscrit dans des objectifs de renforcement de la qualité des soins, de sécurité des patients et de gest

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Auteurs

Solenn Duplessy

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23 Mai

13:30

Deux marqueurs visibles à l’IRM, le HARM et le GLOS, témoignent d’une fuite de gadolinium dans le liquide céphalo-rachidien après un AVC, mais leur interprétation reste limitée par des méthodologies d’études non standardisées. Une étude, parue dans Neuroradiology, souligne l’importance d’une exploration plus détaillée de leur localisation, de leur étendue ou de leur gravité, pour affiner leur rôle dans le diagnostic et le suivi des troubles neurovasculaires.

7:30

Une méta-analyse de 18 études portant sur 7022 patients a révélé que la leucoaraiose modérée à sévère (MSLA) est associée à de moins bons résultats fonctionnels et à une mortalité plus élevée après thrombectomie endovasculaire pour l’AVC ischémique aigu. De futures études prospectives devraient étudier davantage la MSLA en tant que facteur pronostique après une thrombectomie endovasculaire.
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