Guide pour les contributeurs de nos publications
Version 2.0 Date de mise à jour : 5 novembre 2024
Version 2.0 Date de mise à jour : 5 novembre 2024
Ce guide a pour but de vous faciliter les échanges avec Docteur imago et Tech Imago de vous apporter toutes les informations utiles à la rédaction d’un article. L’essentiel pour nous est le plaisir que vous prendrez à voir paraître un article de qualité dans nos médias.
En soumettant un article pour publication, vous, et les éventuels coauteurs, garantissez que vous avez approuvé cet article, qu’il n’a jamais été soumis pour publication à une autre revue, et n’a pas été publié auparavant. Si toutefois c’était le cas, il conviendrait de nous en informer, pour que nous puissions valider ou invalider sa publication dans nos supports.
La rédaction est libre de modifier l’article à des fins de meilleure compréhension. Elle le fera toujours dans le respect de ce que vous avez écrit. La rédaction s’engage à soumettre au contributeur avant publication le texte mis en forme sur internet ou maquetté sous format PDF pour qu’il puisse apposer son bon à tirer.
La décision de publier ou non l’article reste la décision finale de la rédaction.
Plusieurs rubriques accueillent préférentiellement les contributions :
Plusieurs étapes interviennent avant la publication finale de votre contribution. Elles durent plusieurs semaines :
Pour rédiger un article et le soumettre à la rédaction, voici la marche à suivre :
L’envoi de l’article se fait par courriel, avec le texte et les illustrations en pièces jointes. N’oubliez pas d’indiquer vos coordonnées complètes : nom, adresse, n° de téléphone, courriel.
Dans le cadre de notre politique éditoriale d’indépendance et de transparence, nous vous prions d’indiquer s’il existe ou non des liens d’intérêts, qui pourraient avoir une influence sur le contenu de l’article, dans le modèle dédié.
Il est important que le texte ne soit pas repris intégralement ou partiellement d’une publication, article, livre ou site internet… Le plagiat est interdit. Si la rédaction détectait un plagiat, la publication serait automatiquement refusée.
Le contributeur devra indiquer sa fonction exacte, son titre, la structure principale dans laquelle il travaille et déclarer s’il existe ou non des conflits d’intérêts, financiers ou autres, qui pourraient avoir une influence sur le contenu de l’article. Un document à remplir sera fourni afin que chaque contributeur participant à la rédaction de l’article puisse déclarer ses conflits d’intérêts.
Le calibrage de votre contribution est réalisé par vos soins en toute liberté. Toutefois, il doit rester adapté à nos rubriques pour assurer sa publication dans de bonnes conditions. Pour information, le calibrage moyen des articles de formation varie de 6 000 à 18 000 signes (environ 2 à 6 pages Word) + 6 à 8 illustrations.
Il doit être composé de peu de mots. Il doit faire directement allusion au sujet de l’article et être informatif.
Dans le jargon journalistique, le chapô est le texte court situé avant l’article. Il donne l’information essentielle (comme un résumé). Il est écrit pour accrocher le lecteur et lui donner envie d’en savoir plus. Chaque élément du chapô doit être retrouvé dans l’article (pas d’information qu’on ne retrouve pas dans l’article). Nous nous chargeons de le rédiger.
Comme son nom l’indique, il s’agit du résumé pour un article scientifique. Son calibrage : entre 500 et 1000 signes.
Il s’agit de titres intermédiaires (une phrase ou quelques mots), composés en gras, qui rythment les colonnes de texte, de façon à en rendre la lecture moins fastidieuse. Ils ne sont pas obligatoires. Nous nous chargeons de les rédiger. Un maximum de trois niveaux sont acceptés dans un article scientifique. Deux niveaux sont recommandés au maximum.
Elles sont à indiquer dans le texte par un chiffre en exposant (ex. : références 1) et à la fin de l’article, après la signature par un chiffre suivi d’un point (ex. : 1. xxxx).
Les références d’articles doivent être rédigées selon le format suivant :
Nom puis initiales (sans espace ni point si prénoms multiples et composés) du prénom de l’auteur (les trois premiers noms, ensuite et al), année de publication entre parenthèses, titre de l’article, nom de la revue en italique, éventuellement volume, n°, page, auxquels s’ajoute le lien DOI et idéalement la mention de la dernière date de consultation.
Ex. :
Les références d’ouvrages doivent être rédigées selon le format suivant :
Nom et initiales du prénom de l’auteur, année de publication, titre de l’ouvrage en italique, édition (si ce n’est pas la seule édition de l’ouvrage), maison d’édition.
Ex. :
Chelle C (2007) Guide de radiologie pour le manipulateur, 3e édition, Editoo Limited.
Les références de sites ou de liens internet (par exemple, un article journalistique disponible sur le web) doivent être rédigées selon le format suivant :
Nom et initiales du prénom de l’auteur, année de publication, titre de la page internet ou de l’article en italique, adresse web, mention de la dernière date de consultation.
Ex. :
Devillard C (2022) Radiothérapie : atténuer les peurs par la réalité virtuelle. https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/radiotherapie-attenuer-les-peurs-par-la-realite-virtuelle_164364, consulté le 5 novembre 2024.
Le terme entier précède l’abréviation lors de sa première apparition dans le texte (sauf en cas d’unité de mesure).
Ils doivent être mentionnés selon le nom de la molécule et éventuellement de leur nom commercial suivi de ®.
Ex. : gadobutrol (Gadovist®).
N’oubliez pas de signer votre article. Merci d’indiquer vos relecteurs dans le fichier que vous nous fournissez, ainsi que leur qualité. Assurez-vous que les coauteurs éventuels sont d’accord pour la publication d’un article.
Il est tout à fait normal d’utiliser des sources extérieures pour rédiger un article, le compléter, le préciser, etc. En revanche, il est strictement interdit de réaliser un copier-coller d’un article déjà rédigé, sans l’accord de l’auteur de l’œuvre originale. Il est toutefois possible de citer une phrase pertinente d’un autre article, sans oublier de citer l’auteur original ainsi que l’intitulé de la publication.
Dans tous les cas, toutes les sources utilisées pour la rédaction de l’article (même s’il s’agit de cours, de sources internet, etc.) doivent être indiquées à la fin de l’article.
Internet est une source inépuisable d’informations en tout genre. Cependant, il convient de se méfier de la pertinence de ces informations, qui peuvent être fausses parfois. Le mieux est de se référer à une source de confiance, comme un ouvrage de référence.
Dans un article qui fait plus d’une page, il est important d’avoir différents niveaux de lecture, que toute l’information ne se retrouve pas concentrée dans l’article principal. L’encadré permet d’apporter un éclairage sur un des aspects dont traite l’article principal.
Le texte doit être rédigé dans un traitement de texte (Word, openoffice). Il doit nous être envoyé au format .doc, .docx ou .odt. Nous pouvons vous fournir un modèle d’article à compléter, si vous le souhaitez.
Docteur imago tient particulièrement à la qualité des illustrations présentées. La rédaction d’un article ne se limite pas au texte. Comme vous pouvez le voir dans le magazine, nos articles de formation sont richement illustrés. Cela permet d’apporter du concret et du visuel aux lecteurs, et d’alléger un peu le poids du texte. Aussi nous vous demandons de ne pas oublier cette partie essentielle, en fournissant des illustrations. Si toutefois cela n’était pas possible, il convient au moins de nous fournir des idées précises d’images.
Généralement, les illustrations sont appelées dans le texte par des chiffres arabes. Elles doivent absolument être enregistrées séparément et envoyées comme pièces jointes à la rédaction. Si elles étaient intégrées directement dans le texte, nous ne pourrions garantir leur utilisation pour des raisons techniques.
La publication d’illustrations en couleur est recommandée, dans la mesure du possible. La reproduction de documents déjà publiés doit être accompagnée de l’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur possesseur du copyright. N’oubliez pas d’indiquer l’auteur de l’illustration, afin que nous puissions indiquer le crédit.
Enfin, sachez qu’une bonne illustration est celle qui se lit indépendamment du texte. Aussi convient-il d’y ajouter toutes les explications nécessaires à sa bonne compréhension dans le titre ou la légende par exemple.
Le format obligatoire des photographies peut être varié : JPEG, TIFF, BMP, etc. Il convient toutefois de préférer les formats sans compression (comme le format TIFF). Afin que la photo soit publiable dans le magazine, sa résolution minimale doit être de 300 dpi. Pour faire simple, si vous possédez un appareil photo numérique, il convient de prendre des photos avec la meilleure qualité possible. Dans le cadre de l’imagerie médicale, le format de choix est le DICOM anonymisé.
Les tableaux reprennent les mêmes principes que les photos ou les illustrations : ils sont numérotés en chiffres arabes par ordre d’apparition dans le texte (ex. : tableau 1). Ils doivent également figurer à la fin du texte (pas obligatoirement dans une pièce jointe dans ce cas). Ils doivent posséder un titre et une légende. Les explications ou notes diverses nécessaires à leur compréhension figurent au-dessous de chaque tableau.
Généralement, lorsque vous nous fournissez un dessin ou un schéma, nous le retravaillons afin qu’il s’intègre dans la charte graphique du magazine. Vous pouvez nous l’envoyer dans un format lisible par nous (image ou texte au choix). L’important est d’y mettre toutes les explications nécessaires à sa bonne compréhension.
Chaque photo, illustration ou tableau possède une légende qui l’accompagne. Dans le cas d’images radiographiques, les légendes doivent mentionner le type d’examen réalisé, son motif de réalisation, l’incidence de l’image et une courte description de l’éventuelle anomalie présentée, le cas échéant. Elles sont à indiquer à la fin de l’article après la signature avec la référence correspondante, à savoir le nom du fichier (envoyé en même temps que l’article).
Les articles originaux des rubriques de formation, management et les images font l’objet d’une rémunération. Selon le statut des contributeurs, elle peut se faire en droits d’auteur ou en honoraires.
La rédaction fixe le montant de la rémunération selon une grille, qui prend comme critères la publication, la rubrique et le calibrage de l’article.
La rémunération intervient après la publication des articles, par virement bancaire.