Lorsque le cyclone Chido frappe Mayotte, en décembre dernier, le centre hospitalier de Mamoudzou, principal établissement de l’île, est particulièrement endommagé. Inondations, coupures d’électricité et un effondrement partiel de la toiture mettent hors-service certaines zones, dont la maternité, témoigne Élisabeth Duserre, manipulatrice radio au CHU de Nîmes (30).
Une mobilisation d’urgence
Face à l’ampleur des dégâts, la manipulatrice, engagée depuis deux ans chez les pompiers volontaires, est mobilisée d’urgence avec une équipe d’intervention sanitaire, composée de médecins (urgentistes, anesthésistes et chirurgiens) et paramédicaux (manips, infirmiers et aides-soignants). « L’objectif était de prendre en charge les blessés de manière totalement autonome, de pouvoir subvenir aux besoins et seconder l’hôpital », explique-t-elle.
Plus de 200 patients par jour
Déployée pour sa part à partir du 28 décembre 2024 pour 17 jours sur le terrain avec le dispositif de l’ESCRIM, (Élément de sécurit
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