Dans un rapport paru le 17 mars et republié dans une version amendée un mois plus tard, la Haute Autorité de santé se prononce en faveur de l’introduction de la tomosynthèse associée à une reconstruction 2D synthétique (3D + 2Ds) dans le programme français de dépistage organisé du cancer du sein. Ces conclusions, contestées par les sociétés savantes et par le groupe d’experts qui a travaillé sur le rapport, s’appuient sur une revue critique de la littérature scientifique. La HAS a également analysé les préconisations et expérimentations menées dans d’autres pays en Europe et dans le Monde.
Dans aucun pays
Dans ce domaine, les rapporteurs soulignent en premier lieu qu’ « aucun pays, y compris ceux ayant un système centralisé de programme de dépistage organisé du cancer du sein n’a, en 2022, mis en place la mammographie par tomosynthèse en dépistage organisé » et « qu’aucun pays ne recommande d’utiliser la mammographie par tomosynthèse seule ou en association avec la mammographie numérique
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