Jongler entre des patients de quelques grammes à plusieurs dizaines de kilos en quelques minutes, c'est le quotidien de Coralie Brossard. Depuis six ans, cette manipulatrice radio ne prend plus en charge des humains, mais des animaux dans un clinique vétérinaire à Montpellier (34). Lors d'une session aux Journées francophones de radiologie (JFR) 2025, elle a présenté son métier, entre adaptation et défi. « Contrairement à l’imagerie humaine, on est confronté à une très grande diversité d’espèces, avec des tailles très différentes, des anatomies et des physiologies qui varient énormément. Il y a aussi des pathologies propres à chaque animal », débute-t-elle
Du matériel ancien
Coralie Brossard met une lumière une contrainte non négligeable de cet exercice : les finances. « En général, on récupère du matériel issu de la médecine humaine, souvent reconditionné. Je travaille actuellement avec un scanner 16 barrettes. C’est un matériel qui fonctionne bien, mais c’est vrai qu’il est moins rapid

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