Une étude pilote australienne publiée dans Radiography a analysé la faisabilité d’élargir le champ d’exercice des manipulateurs au sein des urgences, en évaluant leur capacité à déterminer l’imagerie appropriée pour les blessures musculosquelettiques. En effet, bien que les manipulateurs jouent un rôle central dans le flux de travail d’imagerie, leur champ d’exercice reste limité à l’acquisition d’images et à l’ajustement du protocole en fonction des références existantes et ils ne sont actuellement pas autorisés à émettre des demandes d’imagerie en Australie, soulignent les chercheurs de l’étude. Toutefois, « cette restriction peut limiter les possibilités d’optimisation du flux de travail, en particulier pour les blessures musculosquelettiques mineures où l’imagerie précoce pourrait accélérer les soins », estiment-ils.
90 scénarios cliniques sélectionnés dans 9 régions anatomiques
L’équipe de chercheurs a donc évalué la pertinence d’un protocole de radiographies initiées par les manipu

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