médecine médico-légale

L’imagerie post-mortem au service de la médecine médico-légale

À l’occasion des 61èmes Journées scientifiques de l’AFPPE, le radiologue Christian Fortel, et Isabelle Fortel, médecin-légiste, ont détaillé les spécificités de l'imagerie post-mortem et évoqué les avantages du scanner sans injection dans le cadre de la médecine médico-légale.

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Le 14/09/23 à 15:16, mise à jour le 06/10/23 à 15:22 Lecture 2 min.

Le scanner sans injection est complémentaire à l'autopsie, et renseigne notamment sur les fractures et les polytraumatismes. © François Mallordy

« Pour le médecin-légiste que je suis, l’imagerie présente plusieurs intérêts », entame Isabelle Fortel, cheffe du service de médecine légale du centre hospitalier sud-francilien (91), lors de sa présentation « Rôle du manipulateur et imagerie légale » en binôme avec Christian Fortel, radiologue aux CMSM de Meaux (77), à l’occasion des 61èmes Journées scientifiques de l’Association française du personnel paramédical d'électroradiologie (AFPPE). « Nous faisons de plus en plus appel à l’imagerie médico-légale dans la prise en charge de cadavres, notamment avec la réalisation de scanners sans injection », poursuit Isabelle Fortel. Hématomes, fractures, lésions anciennes, reconstructions 3D, images du rachis, du bassin et d’autres régions difficilement accessibles… Les intérêts du scanner sans injection pour le médecin-légiste sont nombreux, malgré des limites dans l’analyse des tissus mous.

Une prise en charge appropriée

Dans la pratique, « les actes sont effectués soit sur réquisition,

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Auteurs

François Mallordy

Journaliste rédacteur spécialisé

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