Le Québec, qui n’y a pas pensé un jour ? Ses lacs, ses forêts, et ses services d’imagerie, de médecine nucléaire ou de radiothérapie qui manquent de technologues… Lors des Journées francophones de radiologie 2018, Alain Cromp, le directeur général de l’Ordre des technologues en imagerie médicale, en radio-oncologie et en électrophysiologie médicale du Québec (OTIMROEPMQ), a apporté des réponses aux manipulateurs français qui souhaitent venir travailler dans la belle province.
Un accord de reconnaissance mutuelle
Bonne nouvelle : « la France et le Québec ont signé un accord de reconnaissance mutuelle, qui permet une procédure d’admission simplifiée », explique Alain Cromp. Ainsi, les manips français qui veulent exercer outre-Atlantique doivent d’abord soumettre un dossier à la direction de l’admission de l’OTIMROEPMQ. L’examen prend une semaine après réception. Il s’agit ensuite d’effectuer un stage d’adaptation, de prêter serment, d’obtenir un permis d’exercice régulier auprès de l’Ordre
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