Commission radiologie interventionnelle de l’AFPPE

« Nous souhaitons faire évoluer l’activité sur le versant des soins »

Benjamin Thiriat, manipulateur radio au CHRU de Nancy, a fondé la commission de radiologie interventionnelle de l’AFPPE. Ce groupe offre un espace d’échange et d’information sur la discipline et souhaite accompagner la promotion des pratiques avancées pour les MERM.

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Le 31/03/22 à 5:00, mise à jour aujourd'hui à 4:02 Lecture 3 min.

« L’idée du projet MAORI est de se caler sur le rôle des IBODES et de former des manipulateurs avec une vraie valeur ajoutée sur le côté instrumentiste et assistant du médecin au niveau de la table stérile », explique Benjamin Thiriat. D. R.

Docteur Imago / La commission de radiologie interventionnelle de l’Association française du personnel paramédical d’électroradiologie (AFPPE) se compose de bénévoles titulaires du diplôme interuniversitaire de RI de l’hôpital universitaire de la Timone, à Marseille. Quels sont ses objectifs ?

Benjamin Thiriat / Nous souhaitons représenter les manipulateurs en imagerie interventionnelle et pouvoir partager nos connaissances. Dans un premier temps, nous prévoyons de créer une plateforme sur Facebook afin que chacun puisse échanger sur ses pratiques et sur les avancées de la discipline. Notre deuxième objectif sera de discuter des pratiques avancées que nous voulons mettre en place, ou de la création d’un master en imagerie interventionnelle. Il nous faudra travailler en amont sur la trame du futur diplôme, comme cela a été le cas pour la refonte des études de manipulateur.

D. I. / Quelles pratiques avancées pourraient être développées dans la radiologie interventionnelle ?

B. T. / Le proj

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Auteurs

Solenn Duplessy

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23 Mai

13:30

Deux marqueurs visibles à l’IRM, le HARM et le GLOS, témoignent d’une fuite de gadolinium dans le liquide céphalo-rachidien après un AVC, mais leur interprétation reste limitée par des méthodologies d’études non standardisées. Une étude, parue dans Neuroradiology, souligne l’importance d’une exploration plus détaillée de leur localisation, de leur étendue ou de leur gravité, pour affiner leur rôle dans le diagnostic et le suivi des troubles neurovasculaires.

7:30

Une méta-analyse de 18 études portant sur 7022 patients a révélé que la leucoaraiose modérée à sévère (MSLA) est associée à de moins bons résultats fonctionnels et à une mortalité plus élevée après thrombectomie endovasculaire pour l’AVC ischémique aigu. De futures études prospectives devraient étudier davantage la MSLA en tant que facteur pronostique après une thrombectomie endovasculaire.
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