Aux Journées francophones de radiologie 2019, Charles Canton, manipulateur au centre hospitalier Fabrice-Marchiole de la Mure, en Isère (38), a évoqué son expérience en téléradiologie. Il a notamment pointé quelques dysfonctionnements rencontrés dans sa pratique quotidienne.
Bien pour l’activité programmée, moins pour les urgences
« Nous sommes confrontés à deux types de vacations, entame-t-il. Les premières sont celles des examens programmés, dont les protocoles sont définis la veille par les médecins, préparés par les secrétaires et donc connus à l’avance pour nous. Ces sessions de travail, de 8 heures à 18 heures, se déroulent plutôt bien, car tout est mis en place en amont. » L’autre type de vacation est celui des examens d’urgence. Là, la prise en charge du patient est tout à fait différente : « Nous devons créer son dossier, recueillir son consentement et demander à un médecin radiologue de nous dicter le protocole à suivre », décrit Charles Canton. D’après lui, c’est là que, parfo
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