Comme en 2020, l’imagerie médicale a su maintenir un « haut niveau » de radioprotection en 2021 malgré la crise sanitaire, constate l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Nous n’avons pas enregistré d’augmentation des incidents qui serait liée à un manque de vigilance causé par un surcroît d’activité lié à la Covid-19 », a expliqué Géraldine Pina, commissaire, lors d’une conférence de presse organisée le 19 janvier 2022, en marge des vœux du président de l’Autorité. Après le coup d’arrêt puis la réorganisation forcée de la première vague épidémique, les inspections se sont déroulées à la fréquence prévue l’année dernière. Certaines ont été organisées à distance, de façon partielle ou totale.
Les causes des ESR sont multifactorielles
Les données exactes ne seront dévoilées qu’au troisième trimestre 2022 mais le nombre d’événements significatifs de radioprotection (ESR) reste en « augmentation linéaire » par rapport aux millésimes précédents, si l’on excepte 2020, où la baisse de l’activi
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article